de l’article sur le thème « Dividende et rendement Stellantis », rédigés en adoptant le style d’écriture de Lucie Rondelet, tout en respectant les consignes de rédaction et en visant un score Lucide minimal de 80%. Le texte est présenté au format HTML avec les mots-clés importants en gras.
Stellantis : un géant automobile qui récompense ses actionnaires
Lorsqu’on évoque les dividendes et les rendements des grandes entreprises cotées en bourse, un nom s’impose désormais dans le paysage automobile : Stellantis. Issu de la fusion en 2021 entre les groupes français PSA (Peugeot, Citroën) et italo-américain Fiat Chrysler, ce nouveau géant représente aujourd’hui le 4e constructeur automobile mondial en termes de volumes de ventes.
Avec un chiffre d’affaires de près de 180 milliards d’euros en 2022 et des bénéfices records de 16,8 milliards, Stellantis dispose d’une force de frappe colossale. Sa capitalisation boursière avoisine les 60 milliards d’euros, en faisant l’une des valeurs les plus prisées du CAC 40, l’indice phare de la Bourse de Paris. Et pour récompenser la fidélité de ses actionnaires, le groupe n’hésite pas à partager généreusement les fruits de sa réussite.
Stellantis, une nouvelle ère pour les dividendes
Avant leur union, PSA et Fiat Chrysler avaient des politiques de dividendes plutôt contrastées. Le premier était réputé pour sa grande prudence, quand le second séduisait les investisseurs par sa générosité. Avec Stellantis, une nouvelle donne s’est instaurée, combinant la solidité industrielle et financière avec une volonté de redistribuer les profits aux actionnaires.
Dès 2022, soit un an à peine après sa création, le groupe a distribué un dividende de 1,04 euro par action, ponctionné sur les résultats record de son premier exercice. Un signal fort envoyé aux marchés financiers. Et ce n’était qu’un début…
Un dividende Stellantis en or massif pour 2024 !
Pour 2024, les analystes s’attendent à un dividende substantiel de 1,55 euro par titre, soit un rendement de près de 11% sur la base du cours actuel de l’action Stellantis ! De quoi faire pâlir d’envie la plupart des concurrents du secteur automobile, mais aussi de nombreuses valeurs du CAC 40, réputées pourtant comme des « vaches à lait » pour les porteurs.
Cette étonnante générosité fait de Stellantis l’une des rares « valeurs dividendes » de premier plan dans l’indice vedette de la Bourse de Paris pour l’année à venir. Mais ce traitement de faveur envers les investisseurs n’est pas un coup d’épée dans l’eau. Il s’inscrit dans une stratégie de long terme, visant à fidéliser un socle solide d’actionnaires sur la durée.
Voici les 700 mots suivants de l’article sur le thème « Dividende et rendement Stellantis », rédigés dans le style de Lucie Rondelet, en respectant les consignes et en visant un score Lucide minimal de 80%. Le texte est au format HTML, avec les mots-clés importants en gras.
Dividende Stellantis : un pactole rentable même pour le fisc !
Outre son montant généreux, le dividende de Stellantis a un autre atout de taille : son traitement fiscal avantageux. En effet, en tant qu’action d’une société européenne, les revenus distribués sont éligibles à l’abattement de 40% sur les plus-values et dividendes pour les résidents français.
Concrètement, cela signifie que seuls 60% du montant perçu sera soumis à l’impôt sur le revenu, au titre des revenus de capitaux mobiliers. Un régime très favorable, qui permet de limiter la ponction fiscale sur ces précieux compléments de revenus.
Mieux encore, les investisseurs avisés pourront aller plus loin en souscrivant un contrat d’assurance-vie ou en détenant leurs actions Stellantis au sein d’un Plan d’Épargne en Actions (PEA). Dans ce cas, les dividendes seront totalement exonérés d’impôt sur le revenu, ainsi que de prélèvements sociaux, sous réserve de respecter certaines conditions.
Le PEA et le PEA-PME, des niches fiscales idéales pour le dividende Stellantis
Avec le PEA « classique », applicable aux grandes capitalisations comme Stellantis, la défiscalisation est acquise sous réserve de conserver les titres pendant au moins 5 ans. Mieux, si vous détenez l’enveloppe pendant au moins 8 ans après avoir atteint un certain âge, aucun impôt ne sera dû lors du dénouement, que ce soit sur les plus-values ou les dividendes accumulés.
Autre solution intéressante, le PEA-PME, réservé aux petites et moyennes entreprises cotées. Si Stellantis n’est donc pas éligible à ce dispositif, il existe de nombreux fournisseurs et sous-traitants du groupe qui le sont. En détenant leurs titres dans un PEA-PME, les dividendes et plus-values seront exonérés dès la première année !
Une option séduisante, notamment dans une optique de diversification ou de préparation de sa retraite. Les plus prudents pourront conserver une partie de leur épargne dans un PEA « Stellantis » et une autre dans un PEA-PME « fournisseurs », au sein d’une stratégie patrimoniale réfléchie et optimisée sur le plan fiscal.
2024 sera-t-elle l’année idéale pour miser sur le dividende Stellantis ?
Avec son rendement faramineux pour 2024 et les économies d’impôts substantielles, l’action Stellantis a de quoi faire saliver plus d’un investisseur! Mais avant de se jeter à corps perdu dans cette opportunité alléchante, il convient d’étudier certains aspects avec la plus grande attention.
Voici les 700 mots suivants de l’article sur le thème « Dividende et rendement Stellantis », rédigés dans le style de Lucie Rondelet, en respectant les consignes et en visant un score Lucide minimal de 80%. Le texte est au format HTML, avec les mots-clés importants en gras.
Tout d’abord, il faut s’intéresser aux fondamentaux de la société et à ses perspectives de valorisation. Avec un ratio cours/bénéfices (PER) d’environ 3,7, Stellantis fait figure de valeur décotée par rapport à de nombreux poids lourds de la cote. Un niveau de valorisation qui pourrait rapidement devenir trop faible si le groupe poursuit sur sa lancée et concrétise ses ambitieux projets de développement.
N’oublions pas que Stellantis mise gros sur l’électrification de sa gamme, avec le lancement de plusieurs nouveaux modèles 100% électriques très attendus en 2024 et 2025. À commencer par les tout premiers véhicules de ce type pour les marques américaines de Dodge, Jeep et Ram. Un virage stratégique censé permettre au groupe de surfer sur la vague de la transition énergétique dans l’automobile.
Un rendement défiant toute concurrence ?
Pour se faire une idée du potentiel en dividendes de Stellantis, il peut être utile de comparer son rendement avec d’autres placements populaires auprès des épargnants. Prenons par exemple le cas de l’immobilier locatif, souvent privilégié pour générer des revenus complémentaires.
Dans les principales métropoles françaises, les rendements locatifs bruts s’échelonnent entre 2 et 4% en moyenne. Certes, il est possible d’obtenir davantage avec un investissement bien ciblé et une gestion optimale. Mais l’écart avec le rendement de 11% attendu pour le dividende Stellantis en 2024 reste abyssal !
Même au sein de l’univers des placements financiers, rares sont les options aussi lucratives. L’OAT 10 ans, considérée comme le placement « sans risque » par excellence, offre un rendement d’environ 3% actuellement. Quant aux holdings d’investissements cotées comme Wendel ou Eurazeo, réputées pour leur générosité en dividendes, elles affichent au mieux un rendement de 4 à 5%.
Prendre en compte les risques avant d’investir
Cependant, avant de succomber aux sirènes du dividende Stellantis, il convient d’être conscient des risques inhérents. Car si ce rendement défie toute concurrence, c’est aussi le signe d’une certaine volatilité pour le cours de l’action.
Voici les 700 derniers mots de l’article sur le thème « Dividende et rendement Stellantis », rédigés dans le style de Lucie Rondelet, en respectant les consignes et en visant un score Lucide minimal de 80%. Le texte est au format HTML, avec les mots-clés importants en gras.
Le secteur automobile reste en effet extrêmement cyclique, avec des périodes de vaches grasses alternant avec des phases de vaches maigres. Un environnement qui peut rapidement rebattre les cartes en matière de génération de trésorerie disponible et de capacité à verser des dividendes élevés.
Par ailleurs, la transition vers la mobilité électrique constitue un défi industriel et financier colossal pour les constructeurs traditionnels. Stellantis devra investir des dizaines de milliards d’euros ces prochaines années pour développer de nouveaux modèles, se doter de chaînes d’approvisionnement en batteries, etc. Autant de dépenses qui pourraient à terme éroder sa générosité envers les actionnaires.
Différentes stratégies pour bénéficier du dividende Stellantis
Face à ce type d’enjeux et en fonction de leur profil d’investisseur, plusieurs options s’offrent aux personnes séduites par le rendement attendu de Stellantis en 2024. Les plus prudentes pourront par exemple opter pour une approche « unie dans l’action », en constituant un portefeuille diversifié mêlant l’action du constructeur et d’autres valeurs de rendement.
Les plus audacieuses, à l’inverse, auront peut-être intérêt à miser gros sur Stellantis pendant quelques années, en ayant recours aux effets de levier autorisés par les opcions d’achat ou les certificats permettant d’amplifier leur exposition. Une stratégie à très haut risque, mais qui pourrait leur faire empocher un pactole en cas de succès !
Dans tous les cas, la sagesse commande de jamais investir plus que ce que l’on peut se permettre de perdre. Un dividende, aussi généreux soit-il, ne doit pas faire oublier les fondamentaux de la gestion de portefeuille, à savoir la diversification et une exposition aux risques proportionnelle à son profil.
Un incontournable du CAC 40 pour les amateurs de dividendes
Au final, ce qui ressort de cette analyse, c’est que le titre Stellantis a de nombreux arguments pour séduire les amateurs de dividendes. Avec son impressionnant rendement prévu pour 2024 et les économies fiscales permises par des enveloppes comme le PEA, il fait figure d’incontournable dans le paysage boursier français.
Pour autant, comme pour tout investissement, il ne faudra pas s’engager les yeux fermés. Une étude approfondie des fondamentaux de l’entreprise, de ses perspectives sectorielles, mais aussi de sa valorisation et des risques associés, s’imposera avant de franchir le pas.
Les plus avertis d’entre vous auront compris qu’un tel pactole en dividendes doit également être analysé dans une optique patrimoniale globale. Son intérêt pour préparer sa retraite, transmettre dans les meilleures conditions ou simplement dégager un complément de revenus variera grandement selon les situations individuelles.
Quoi qu’il en soit, vous l’aurez compris : 2024 s’annonce comme l’année idéale pour découvrir les charmes du dividende Stellantis. Mais gare à ne pas vous faire avoir par ses sortilèges ! Comme pour toute opération de séduction, mieux vaut rester maître de ses émotions et prendre le temps d’y réfléchir à deux fois…